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Les 9 idées reçues les plus courantes sur la vente à domicile 

La vente à domicile est un vieux métier qui a eu le temps de véhiculer un tas d’idées reçues autour de lui. Nombreuses sont les personnes qui ont une vision erronée de l’activité de vendeur à domicile. D’ailleurs, vous aussi, vous ressentez peut-être un certain intérêt pour ce secteur de la vente tout en étant influencé par ces lieux communs ? Métier dépassé, produits de faible qualité, absence de qualification de ses vendeurs, difficulté de faire du CA… Tous ces clichés ont la vie dure. Laissez-nous démonter une par une les idées reçues les plus courantes sur l’activité d’un VDI. Vous en ressortirez avec une vision plus juste du métier.

1. La vente à domicile, un métier dépassé

Fortement ancré. ce premier cliché reflète un décalage entre l’offre large de produits distribués en vente directe et l’image des premières ventes à domicile de boîtes tupperware. Et pourtant, depuis longtemps, la vente à domicile a effectué sa propre révolution. Elle a modernisé ses structures, la variété de ses produits et la formation de ses vendeurs… Tant et si bien qu’aujourd’hui, l’activité d’un VDI ne correspond plus du tout à un métier has been. Il s’agit même du troisième mode de distribution le plus important après la vente en magasins et l’e-commerce. Ne vous y trompez donc pas ! La qualité de ce mode de distribution est bien supérieure à son image dépassée.

2. Les produits ne sont pas de bonne qualité

Ici, l’idée reçue réside dans la croyance que les produits en vente à domicile sont de la camelote. Rien de plus contre-intuitif si l’on prend le temps de réfléchir quelques minutes à ce système de vente. En effet, pour une entreprise de vente à domicile, la qualité de ses gammes de produits est la condition sine qua non pour qu’elle puisse prospérer. En effet, le bouche-à-oreille constituant un canal d’acquisition important en vente directe, la satisfaction de tous les clients est un impératif absolu !  À ce cliché vient souvent s’ajouter celui d’une faible professionnalisation des vendeurs. Encore une fois, il s’agit d’une idée reçue car la plupart des conseillers de vente connaissent leurs produits sur le bout des doigts. Souvent, ils sont même devenus VDI par passion pour une gamme de produits ou un univers de vente. C’est parce qu’ils ont d’abord été des clients fidèles, convaincus par la qualité d’une offre, qu’ils ont quitté leur statut de clients pour devenir vendeurs à domicile.

3. Ce n’est pas un vrai métier

Un autre cliché tenace relatif à la vente à domicile tient au fait qu’il ne s’agirait pas d’un vrai métier. Cette croyance tend à réduire la vente directe à une simple animation de vente dans un salon, facile à mettre en place. Certes, le métier de VDI est accessible à tous mais, pour être bien exercé, il exige d’être formé un minimum. La plupart des entreprises de vente à domicile dignes de ce nom font d’ailleurs partie de la Fédération de la Vente Directe (FVD). Leurs produits répondent à des normes et leur vente à des processus bien rodés. À titre d’exemple, chez Oika Oika, tous les Oik’Animateurs bénéficient d’un apprentissage complet avant de se lancer dans leur activité. Ils sont formés non seulement pour mieux connaître leurs produits mais également sur  les techniques de vente et la charte commerciale de leur entreprise.

4. On ne peut pas gagner sa vie avec la vente directe

Ce cliché est parallèle à celui du métier de VDI considéré comme un simple passe-temps. En réalité, dans la vente directe, le principe est simple. On y gagne ou pas sa vie en fonction du temps que l’on consacre à son activité de VDI. Plus vous organisez de vente en réunion à domicile et plus vos revenus seront conséquents. La règle d’or pour perdurer dans ce métier est de trouver le rythme qui vous convient, à temps plein ou à temps partiel. Et vous êtes la personne la mieux placée pour définir votre propre rythme de travail.

5. La vente à domicile n’est pas légale

Ce cliché est entretenu par la confusion entre vente à domicile et vente pyramidale. Or, si les deux systèmes sont en apparence similaires, ils sont, dans l’esprit, très différents. Et pour cause ! Dans le premier cas, la vente directe s’inscrit dans un marketing de réseau qui place l’entraide au centre de son système. C’est en vendant un produit que des revenus sont générés et distribués. Au contraire, dans la vente pyramidale, la pyramide se maintient grâce à l’intégration payante de ses membres, jusqu’à son effondrement. Si l’article L 121-15 du Code de la Consommation punit sévèrement ce type d’organisations, il n’en est rien pour la vente à domicile. La plupart des sociétés de vente à domicile font partie de la FVD, l’organisation nationale de référence pour le secteur.

Pour en apprendre plus sur les spécificités du MLM et sa différence avec la vente pyramidale, consultez vite cette ressource 🙂

6. Je n’ai pas d’expérience dans la vente

Cette idée reçue est tout à fait légitime. Comment pourrait-on bien vendre des produits au domicile des particuliers si l’on n’a jamais vendu quoi que ce soit auparavant ?  Pour autant, cette réalité n’hypothèque en rien votre avenir dans la vente directe. Si une expérience dans la vente vous aidera à vous sentir plus confiant au début de votre activité, il ne s’agit en rien d’une condition sine qua non. La majorité des acteurs de la vente à domicile vous accueilleront sans aucune qualification commerciale.

7. Je ne connais pas assez de monde pour me lancer

Dans ce cas, l’idée reçue tient au fait que l’on associe toujours les métiers commerciaux à la nécessité d’un réseau professionnel fort. On pense ainsi qu’il est difficile pour un VDI de trouver des clients alors qu’il s’agit d’une étape incontournable. Pourtant, une bonne nouvelle vous attend dans la phrase suivante. Loin de constituer une tâche insurmontable, la construction de votre réseau est beaucoup plus accessible que vous ne le pensez ! Si vous réfléchissez bien, vous connaissez beaucoup plus de monde que vous ne le pensez.

💡 Pour le vérifier, amusez-vous à faire l’exercice suivant : prenez une feuille de papier et un crayon. Divisez votre feuille en 3 sections : une pour votre famille et vos amis intimes, la deuxième pour vos voisins et connaissances (commerçants, anciens collègues, autres membres d’une association), la troisième pour vos contacts sur vos réseaux sociaux. Faites le tour de tous ces cercles et vous verrez… Vous remplirez votre feuille plus vite que prévu !

idées reçues

8. Il faut investir trop d’argent au départ

Cet énième cliché sur la vente directe tient à l’idée qu’un VDI doit d’abord acheter une partie de sa marchandise. Or, le statut de VDI mandataire vous garantit un investissement proche de zéro lorsque vous démarrez. Cette confusion vient de la différence de statut entre le VDI acheteur-revendeur et le VDI mandataire. Dans le premier cas, vous devez en effet investir un certain montant pour constituer vos premiers stocks. Au contraire, en tant que VDI mandataire, vous distribuez les produits d’une marque de vente à domicile sans rien investir. Chez Oika Oika, les vendeurs de la Oika Family possèdent tous ce statut. Ils peuvent ainsi débuter leur activité de vendeur indépendant avec un investissement minimum.

🗒️ Pour comprendre comment démarrer une activité de VDI sans investissement, jetez un oeil par ici 🙂

9. Je manque de temps

Cette ultime idée reçue revient à penser qu’il n’y a qu’une façon de s’organiser dans son activité de VDI. Pourtant, nombreuses sont les manières d’exercer ce métier. En complément de revenu ou à temps plein, vous êtes libre de planifier votre agenda. Et contrairement à une idée courante, les VDI ne travaillent pas seulement durant les week-ends. Vous pouvez toujours programmer vos ventes à domicile les soirs de semaine, ou les mercredis après-midi si votre spécialité intéresse les enfants. Inutile donc de renoncer à tous vos week-ends en devenant vendeur à domicile indépendant ! Le temps que vous aurez sera celui que vous créez… Simplement en vous organisant.

 

S’ils tendent peu à peu à disparaître, les idées reçues concernant la vente à domicile n’ont pas fini de circuler. La bonne nouvelle, c’est que vous en savez maintenant assez pour contribuer à les déconstruire !

Et si vous n’êtes toujours pas convaincu, venez discuter avec un membre de notre équipe et pourquoi pas éliminer vos derniers doutes 🙂

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